Frankrig er et indvandrerland. Gennem tiden har landet modtaget en strøm af indvandrere – fra de tidligere franske kolonier, fra fattige europæiske nabolande og fra undertrykkende regimer i det tidligere Sovjetunionen og Østeuropa.
I 1960’erne var det meget almindeligt, at velstående parisiske familier havde en eller flere tjenestepiger fra det fattige Spanien. De boede tit under ret usle forhold oppe under taget på de store Pariser-ejendomme. Deraf titlen på filmen, Les femmes du 6ème étage. Med humor men også en underliggende alvor skildrer filmen, hvordan familien Joubert får en spansk tjenestepige, efter at den tidligere – fra Bretagne – er rejst. Husets herre forelsker sig i den nye og får derved indblik i de spanske kvinders liv under taget.

Transcription de la vidéo
Les dames : « Mais c’est fini les Bretonnes, ma chère Suzanne, aujourd’hui tout le monde a une Espagnole à son service. »
La concierge : « L’ascenseur c’est pour les patrons, vous, vous prenez l’escalier de service. »
Le patron : « À notre ancienne bonne nous donnions 250 francs et j’ai décidé… »
La bonne : « 400 francs. »
Le patron : « 400 francs vous déraisonnez enfin ! »
Madame : « Je compte sur vous pour que tout soit impeccable. »
La bonne : « Tía, abre!… Dolores…Carmen…Teresa… »
Les bonnes : «…un tout petit bikini…qu’elle mettait pour la première fois ([chanson de Dalida] (Tía, abre!) »
Madame : « Vous êtes parfaite ! Une vraie fée du logis. »
Les fils : « Vous avez engagé une Espagnole ? »
Le patron : « Parfaitement, et je vous demanderai de bien la traiter en plus. »
Le patron : « A mí me el gusta el jamón. No. »
Une bonne : « Venez monsieur, je vais vous montrer quelque chose. Je vous préviens c’est un peu chaud là-dedans ! Le patron : Ouh ! …. Ouf ! »
La bonne : « Dites avec moi: « juego; el juego. » El jardín.»
Le patron : « Elles vivent dans des chambres minuscules. Mais où est le lavabo ?…Le lavabo ? …” Sans chauffage, ni eau courante. »
Le patron : « El jamón. El jamón. »
Madame : « Enfin d’ordinaire tu ne te soucies ni des uns ni des autres et puis là, tout à coup, tu te passionnes pour des bonnes espagnoles. »
Les bonnes : « Bonjour Monsieur Joubert. »
Le patron : « Ah ! Bonjour ! »
Madame : « Pour Jean Louis, je ne suis jamais sortie de ma province, lui ce qu’il aime c’est ce qui brille, c’est les parisiennes, les élégantes. »
La bonne : « Je me suis trompée, vous n’êtes pas un patron comme les autres. »
Le patron : « Mais je te dis que j’ai été dîner chez les Espagnoles du 6 ième étage. »
Madame : « Mais arrête de dire n’importe quoi ! Mais tu ne crois pas que je vois qu’il y a quelque chose qui se passe ? »
Le patron : « Bonjour, Mesdames. »
Les fils :… « Comment ça au 6 ième étage ? » …. « Avec les bonnes espagnoles ? »
Une bonne : « Le patron doit rester chez les patrons. »
Le patron : « C’est la première fois que j’ai une chambre à moi. Si vous saviez ce que je me sens libre.
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