Les dames : « Mais c’est fini les Bretonnes, ma chère Suzanne, aujourd’hui tout le monde a une Espagnole à son service. »
La concierge : « L’ascenseur c’est pour les patrons, vous, vous prenez l’escalier de service. »
Le patron : « À notre ancienne bonne nous donnions 250 francs et j’ai décidé… »
La bonne : « 400 francs. »
Le patron : « 400 francs vous déraisonnez enfin ! »
Madame : « Je compte sur vous pour que tout soit impeccable. »
La bonne : « Tía, abre!… Dolores…Carmen…Teresa… »
Les bonnes : «…un tout petit bikini…qu’elle mettait pour la première fois ([chanson de Dalida]
(Tía, abre!) »
Madame : « Vous êtes parfaite ! Une vraie fée du logis. »
Les fils : « Vous avez engagé une Espagnole ? »
Le patron : « Parfaitement, et je vous demanderai de bien la traiter en plus. »
Le patron : « A mí me el gusta el jamón. No. »
Une bonne : « Venez monsieur, je vais vous montrer quelque chose. Je vous préviens c’est un peu chaud là-dedans ! Le patron : Ouh ! …. Ouf ! »
La bonne : « Dites avec moi: « juego; el juego. » El jardín.»
Le patron : « Elles vivent dans des chambres minuscules. Mais où est le lavabo ?…Le lavabo ? …” Sans chauffage, ni eau courante. »
Le patron : « El jamón. El jamón. »
Madame : « Enfin d’ordinaire tu ne te soucies ni des uns ni des autres et puis là, tout à coup, tu te passionnes pour des bonnes espagnoles. »
Les bonnes : « Bonjour Monsieur Joubert. »
Le patron : « Ah ! Bonjour ! »
Madame : « Pour Jean Louis, je ne suis jamais sortie de ma province, lui ce qu’il aime c’est ce qui brille, c’est les parisiennes, les élégantes. »
La bonne : « Je me suis trompée, vous n’êtes pas un patron comme les autres. »
Le patron : « Mais je te dis que j’ai été dîner chez les Espagnoles du 6 ième étage. »
Madame : « Mais arrête de dire n’importe quoi ! Mais tu ne crois pas que je vois qu’il y a quelque chose qui se passe ? »
Le patron : « Bonjour, Mesdames. »
Les fils :… « Comment ça au 6 ième étage ? » …. « Avec les bonnes espagnoles ? »
Une bonne : « Le patron doit rester chez les patrons. »
Le patron : « C’est la première fois que j’ai une chambre à moi. Si vous saviez ce que je me sens libre.
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